2023 | J’ai toujours rêvé d’aller sur Mars

« J’ai toujours rêvé d’aller sur Mars » est une pièce de science-fiction.

Elle se déroule dans une station spatiale, en orbite quelque part autour de la lune.
Nous sommes en 2318. L’homme a colonisé non seulement la lune mais aussi la planète rouge : Mars.
Le mystère qui plane autour de la partielle amnésie du personnage principal, Stan Horowitz, est d’abord prétexte à décrire le fonctionnement de cette station où vivent 5 membres d’équipage.

Mais cette histoire raconte aussi et surtout une histoire d’amour.
Un amour contrarié, en apparence impossible, ce qui le rend encore plus fort et chargé d’émotion.

Cette pièce n’avait encore jamais été jouée. Il s’agissait donc d’une création.

En plus de la partie théâtrale se jouant dans un décor épuré et éclairé par un jeu de lumières propice à l’imagination, des vidéos accompagnant les différentes actions viennent enrichir l’originalité du propos.
Le tout constitue un spectacle hors norme, innovant, envoutant, rare pour du théâtre amateur.
Toute la compagnie est mobilisée pour offrir au public un moment inoubliable, où il se laissera emporté par la force et la beauté de cette histoire.

Synopsis

Stan Horowitz est agent de maintenance sur la station orbitale Constellation 3.
Victime d’un accident lors d’une sortie dans l’espace, il semble avoir en partie perdu la mémoire.
Le reste de l’équipage se comporte bizarrement avec lui.
Est-ce parce que son regard se porte infailliblement vers Mars ?

une pièce de Wilfrid Renaud
adaptation et mise en scène Pascal Bonnelle
Conception sonore et vidéos : Pascal Bonnelle
Assistant mise en scène : Max Gouget
Maquillages et coiffures : Dominique Berlioz
Régie : Jean-Philippe Barré, Max Gouget, Théo Corbanèse
Conception décors et lumières : Pascal Bonnelle, Max Gouget, Philippe Maubon, Elisabeth Lethielleux, , Hélène Sabatte

Avec
Isabelle Hubert, Monique Leloup, Daphné Cordelier, Cécile Bodson, Philippe Maubon, Pascal Bonnelle

La presse en parle !

Lire l’article du journal Angers Maville

Lire l’article du journal Ouest France